Les vignes de Bourgogne Chardonnay que nous exploitons depuis 1992 appartiennent à Marie Pierre et François MIKULSKI .
Leur superficie totale est de 1.5 ha.
L’une a été plantée en 1986 et l’autre en 2005 par François MIKULSKI.
Leur encépagement est 100% Chardonnay.
Production annuelle : environ 9000 bouteilles.
Les vignes sont cultivées en culture biologique non certifiée.
Le sous-sol est composé d’alluvions fines de rivière, fréquent dans la partie basse du coteau.
La cuvée est élevée en fûts de chêne environ 10 mois, puis soutiré et mis en cuves pour 2 mois avant la mise en bouteille.
Ces deux parcelles que nous exploitons se situent en limite de l’appellation MEURSAULT, ce qui confère au vin des caractéristiques proches de celui d’un Meursault : longueur en bouche, gras, bonne conservation.
Dégustation
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Nez riche et complexe, cierge, colophane, agrumes discrets, citrons jaune et vert, mandarine, puis étoile de mer, mollusques, carapace de gambas, iode, sel, ardoise, fonte, je ne sais pas si vous vous rendez bien compte de ce que les racines ont été cherché comme informations. Légère sucrosité en bouche caramel, beaucoup de matière, orange, compote de pommes, une légère amertume cette fois ci, due sans doute à la concentration, le vin est difficile à bouger tant il est massif. Même histoire que pour l’aligoté, une dizaine de minutes suffisent à l’affiner, à changer le toucher du vin vers plus de fruit et de finesse. La finale puissante, massive et très longue, tarde-t-elle aussi à montrer la pomme, l’orange, le pomelo qui se montrent tour à tour. Garde obligatoire, au moins deux ans. Pour les accords, s’en servir comme d’un Meursault, des ris de veau champignons à la darne de saumon tagliatelle.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Quand vous en ferez goûter à vos ami(e)s, dites leur bien qu’il s’agit d’un Bourgogne, appellation régionale de Bourgogne car ils auront du mal à le croire ! Il y a tout ce dont on peut rêver et plus, une complexité sidérante à ce niveau. Des fruits blancs, peau de pomme et banane écrasée, dans un écrin végétal fait d’herbes de montagne, sarriette, marjolaine ? Ce genre. Une note lactique suivie d’une foule d’agrumes, mandarine-kumquats-oranges, des fruits secs à présent, amande et noisette, encore des fleurs blanches comme des œillets, il y a une note lactique de yogourt, de crème, de beurre suivi d’un côté huile d’amande douce et huile de noisette, le vin à l’air, est on ne peut plus vivant, on l’a vu, il se dévoile par couches successives où on a trouvé des fruits, des herbes, des épices douces, des agrumes et il s’agit bien d’un Bourgogne blanc ! La bouche est chargée de fruit, opulente mais très vivante, agrumes-citron vert, citron jaune, pamplemousse, le vin est poivré, salé, excitant et sapide, grande longueur et grande persistance, vin spectaculaire.
- + 2018
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Nez riche et complexe, cierge, colophane, agrumes discrets, citrons jaune et vert, mandarine, puis étoile de mer, mollusques, carapace de gambas, iode, sel, ardoise, fonte, je ne sais pas si vous vous rendez bien compte de ce que les racines ont été cherché comme informations. Légère sucrosité en bouche caramel, beaucoup de matière, orange, compote de pommes, une légère amertume cette fois ci, due sans doute à la concentration, le vin est difficile à bouger tant il est massif. Même histoire que pour l’aligoté, une dizaine de minutes suffisent à l’affiner, à changer le toucher du vin vers plus de fruit et de finesse. La finale puissante, massive et très longue, tarde-t-elle aussi à montrer la pomme, l’orange, le pomelo qui se montrent tour à tour. Garde obligatoire, au moins deux ans. Pour les accords, s’en servir comme d’un Meursault, des ris de veau champignons à la darne de saumon tagliatelle.
- + 2017
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Quand vous en ferez goûter à vos ami(e)s, dites leur bien qu’il s’agit d’un Bourgogne, appellation régionale de Bourgogne car ils auront du mal à le croire ! Il y a tout ce dont on peut rêver et plus, une complexité sidérante à ce niveau. Des fruits blancs, peau de pomme et banane écrasée, dans un écrin végétal fait d’herbes de montagne, sarriette, marjolaine ? Ce genre. Une note lactique suivie d’une foule d’agrumes, mandarine-kumquats-oranges, des fruits secs à présent, amande et noisette, encore des fleurs blanches comme des œillets, il y a une note lactique de yogourt, de crème, de beurre suivi d’un côté huile d’amande douce et huile de noisette, le vin à l’air, est on ne peut plus vivant, on l’a vu, il se dévoile par couches successives où on a trouvé des fruits, des herbes, des épices douces, des agrumes et il s’agit bien d’un Bourgogne blanc ! La bouche est chargée de fruit, opulente mais très vivante, agrumes-citron vert, citron jaune, pamplemousse, le vin est poivré, salé, excitant et sapide, grande longueur et grande persistance, vin spectaculaire.