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Domaine François Mikulski 7 RD 974 | 21190 Meursault Tél : 03 80 21 25 11 contact@domainemikulski.fr
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Meursault Limozin

Ce vin est issu des parcelles des Meix Chavaux, qui, certains millésimes, sont vinifiées à part et Ce vin Ce vin est issu de la parcelle du Limozin, qui, certains millésimes, est vinifiée à part et d’autres assemblée dans la cuvée Meursault.

La superficie  totale est  de 0.15 hectares. L’âge moyen de la vigne est de 65 ans. Son encépagement est 100% Chardonnay. Production annuelle : environ  600 bouteilles.
La vigne est cultivée en culture biologique non certifiée.

Le sous sol est composé d alluvions fines de rivière. Il est donc moins riche en calcaire, donc plus lourd et plus drainant.

On consomme ce vin en accompagnement de crustacés chauds, d’un poisson ou d’une viande blanche, sauce au beurre ou  crème de préférence (poulet à la crème et aux morilles ; coquilles Saint Jacques, huîtres chaudes, etc…).

Idéalement, un Meursault est un vin à boire  âgé de 5 à 10 ans. A sa maturité, son palais et son nez sont explosifs ; toute une palette d’arômes s’en dégage : miel, fruits exotiques, beurre, noisette, amande grillée fruits jaunes.

Cette cuvée est ronde et soyeuse, avec une touche de minéralité.

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Articles de presse (bientôt)

Dégustation

  • 2020
  • 2019
  • 2018
  • 2017

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Retour vers l’esprit du Meursault assemblage avec ici une composante viande blanche-veau-os de veau-champignons-truffe blanche qui rapproche tout de suite le propos de l’esprit des Charmes tous proches. Cire, cierge, encaustique au miel, graisse de veau, fruits blancs mi rôtis, mi pochés, poires, pêche blanche, raisin, pomme, des épices, certes, mais on est plus dans le registre de la noix de muscade, aisément identifiable, de la cannelle et du curcuma, poivres blanc et rose mélangés. A l’aération, le nez s’ouvre vers une floralité complexe, miellée et épicée, le musc oriente le ressenti vers le Moyen-Orient ou l’Asie centrale, marché aux épices.
Bouche beaucoup plus lascive ici, la parenté avec les Charmes se poursuit et s’amplifie, fruits blancs pochés, ampleur et crémosité de la chair, crème brulée et pêches rôties, poires langoureuses poivrées et pimentées, jus de pomme épicé, agrumes autour de l’orange, comme un extrait d’orange, ça pique, ça aiguillonne, ça excite, sans doute formidable à table avec un poulet frit aux épices, on pourrait presque aller jusqu’au Cajun.
Finale puissante, intense, empyreumatisme « brillant, solaire, jaillissant », sol ardent, roche en flamme, reste vibrant, excitant, vivant, il se passe quelque chose à chaque seconde, grande évolution garantie. Dans quelques années, du quasi de veau au poulet de Bresse rôti, du turbot Hollandaise au Vacherin au four, vous n’aurez que l’embarras du choix.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Robe toujours aussi belle. Nez poétique qui emprunte encore cette année à ses deux illustres voisins, des Genevrières il chipe la floralité, l’élégance, la poésie, des Charmes ces fruits pochés si typiques de l’appellation, cette sensualité qui n’appartient qu’à Meursault et qui en a fait la gloire. Difficile à croire que dans l’une des trois années les plus chaudes depuis un siècle, le mot fraîcheur vienne si facilement à l’esprit, et pourtant ! la pâtisserie murisaltienne est ici aussi légère que l’air, la pâte feuilletée vole, le mille feuilles, la brioche, l’éclair au café virevoltent, « si clair leur incarnat léger qu’il voltige dans l’air » (Mallarmé, Prélude à l’après midi d’un faune), poétique disions nous. Prune jaune, orange et mangue pochées, épices musquées et encens ajoutent au mystère, Bouche gourmande, miel et abricot, pommes et poires au four, mangue confite, pâtes de fruit et prunes si mûres, mirabelle et kumquat. sirop d’érable, huile d’amande, bergamote et poivre de Sichuan, dans ce vin sec il y a des réminiscences d’un grand Sauternes et les épices complexes d’un tout aussi grand pinot gris, Finale d’une grande sensualité, confiture d’abricot et marmelade, tarte Tatin et ananas confit, persistance sur les fruits confits et les épices avec la belle amertume d’une cardamome qui donne un supplément de vie et d’énergie à l’ensemble. On aurait envie de tout tenter du côté des poissons ou des viandes blanches avec des laques au miel ou teriyaki, mais ça serait prendre le risque de déséquilibrer le vin en mangeant ses sucres, calmons nous, double côte de veau façon Apicius, moelle et poêlée de cèpes, pas de danger, juste le nirvana, un chapon rôti avec un gratin Dauphinois devrait tout autant faire l’affaire, à partir de 2026.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Retour vers l’exposition classique au sud-est, mais le Limozin semble ne pas en avoir souffert de la pression solaire du millésime, il est même particulièrement floral avec un côté somme toute « très Genevrières, pas gagné sur le papier » Il y a donc ce côté de jardin mystérieux propre au grand voisin du dessus, de l’air, lys, violette, un miel complexe, d’autres fleurs blanches, plusieurs poires mêlées, pêche blanche et pêche de vigne. La bouche est dominée par une note de pêche de vigne enchevêtrée dans un mix d’épices avec la réglisse, les poivres et la cardamome. C’est sur la finale, avec ces notes de fonte, de métaux en général qu’on retrouve cet attribut massif du millésime, le fruit est présent, mais il faut qu’il lutte avec cette masse et avec les épices poivrées-pimentées. C’est une grande finale interminable et prometteuse mais qui impose à l’évidence une garde d’au moins cinq ans. Le Limozin est très proche du statut de premier cru, la question a été évoquée dans les trente, et si vous avez le bon sens de garder en cave vos premiers crus, il faudra en faire de même avec ce finage en 2018.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

On l’a dit plus haut, la parcelle du Limozin réunit toutes les qualités possibles, la rencontre de ces vignes et de ce millésime porte ce climat vers des sommets encore inconnus. Fruits secs, amandes, pignons, miel subtil, nougat de Montélimar, biscuits roses, biscottes, œillet blanc, anis ? note mentholée de plus en plus puissante qui s’oriente vers l’iode, puis poivre blanc et gingembre frais. La bouche est d’une fraîcheur et d’une énergie formidables. Agrumes, citron vert et goyave, poire Comice, équilibres incroyables, l’alcool est là, mais le fruit est atomique, l’acidité, vibrante, excitante, fait constamment vivre le vin en bouche, la finale est d’une densité folle, c’est proprement interminable, sans aucun doute, le plus grand Limozin qu’il m’ait été donné de déguster en vin jeune.

+ 2020

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Retour vers l’esprit du Meursault assemblage avec ici une composante viande blanche-veau-os de veau-champignons-truffe blanche qui rapproche tout de suite le propos de l’esprit des Charmes tous proches. Cire, cierge, encaustique au miel, graisse de veau, fruits blancs mi rôtis, mi pochés, poires, pêche blanche, raisin, pomme, des épices, certes, mais on est plus dans le registre de la noix de muscade, aisément identifiable, de la cannelle et du curcuma, poivres blanc et rose mélangés. A l’aération, le nez s’ouvre vers une floralité complexe, miellée et épicée, le musc oriente le ressenti vers le Moyen-Orient ou l’Asie centrale, marché aux épices.
Bouche beaucoup plus lascive ici, la parenté avec les Charmes se poursuit et s’amplifie, fruits blancs pochés, ampleur et crémosité de la chair, crème brulée et pêches rôties, poires langoureuses poivrées et pimentées, jus de pomme épicé, agrumes autour de l’orange, comme un extrait d’orange, ça pique, ça aiguillonne, ça excite, sans doute formidable à table avec un poulet frit aux épices, on pourrait presque aller jusqu’au Cajun.
Finale puissante, intense, empyreumatisme « brillant, solaire, jaillissant », sol ardent, roche en flamme, reste vibrant, excitant, vivant, il se passe quelque chose à chaque seconde, grande évolution garantie. Dans quelques années, du quasi de veau au poulet de Bresse rôti, du turbot Hollandaise au Vacherin au four, vous n’aurez que l’embarras du choix.

+ 2019

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Robe toujours aussi belle. Nez poétique qui emprunte encore cette année à ses deux illustres voisins, des Genevrières il chipe la floralité, l’élégance, la poésie, des Charmes ces fruits pochés si typiques de l’appellation, cette sensualité qui n’appartient qu’à Meursault et qui en a fait la gloire. Difficile à croire que dans l’une des trois années les plus chaudes depuis un siècle, le mot fraîcheur vienne si facilement à l’esprit, et pourtant ! la pâtisserie murisaltienne est ici aussi légère que l’air, la pâte feuilletée vole, le mille feuilles, la brioche, l’éclair au café virevoltent, « si clair leur incarnat léger qu’il voltige dans l’air » (Mallarmé, Prélude à l’après midi d’un faune), poétique disions nous. Prune jaune, orange et mangue pochées, épices musquées et encens ajoutent au mystère, Bouche gourmande, miel et abricot, pommes et poires au four, mangue confite, pâtes de fruit et prunes si mûres, mirabelle et kumquat. sirop d’érable, huile d’amande, bergamote et poivre de Sichuan, dans ce vin sec il y a des réminiscences d’un grand Sauternes et les épices complexes d’un tout aussi grand pinot gris, Finale d’une grande sensualité, confiture d’abricot et marmelade, tarte Tatin et ananas confit, persistance sur les fruits confits et les épices avec la belle amertume d’une cardamome qui donne un supplément de vie et d’énergie à l’ensemble. On aurait envie de tout tenter du côté des poissons ou des viandes blanches avec des laques au miel ou teriyaki, mais ça serait prendre le risque de déséquilibrer le vin en mangeant ses sucres, calmons nous, double côte de veau façon Apicius, moelle et poêlée de cèpes, pas de danger, juste le nirvana, un chapon rôti avec un gratin Dauphinois devrait tout autant faire l’affaire, à partir de 2026.

+ 2018

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Retour vers l’exposition classique au sud-est, mais le Limozin semble ne pas en avoir souffert de la pression solaire du millésime, il est même particulièrement floral avec un côté somme toute « très Genevrières, pas gagné sur le papier » Il y a donc ce côté de jardin mystérieux propre au grand voisin du dessus, de l’air, lys, violette, un miel complexe, d’autres fleurs blanches, plusieurs poires mêlées, pêche blanche et pêche de vigne. La bouche est dominée par une note de pêche de vigne enchevêtrée dans un mix d’épices avec la réglisse, les poivres et la cardamome. C’est sur la finale, avec ces notes de fonte, de métaux en général qu’on retrouve cet attribut massif du millésime, le fruit est présent, mais il faut qu’il lutte avec cette masse et avec les épices poivrées-pimentées. C’est une grande finale interminable et prometteuse mais qui impose à l’évidence une garde d’au moins cinq ans. Le Limozin est très proche du statut de premier cru, la question a été évoquée dans les trente, et si vous avez le bon sens de garder en cave vos premiers crus, il faudra en faire de même avec ce finage en 2018.

+ 2017

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

On l’a dit plus haut, la parcelle du Limozin réunit toutes les qualités possibles, la rencontre de ces vignes et de ce millésime porte ce climat vers des sommets encore inconnus. Fruits secs, amandes, pignons, miel subtil, nougat de Montélimar, biscuits roses, biscottes, œillet blanc, anis ? note mentholée de plus en plus puissante qui s’oriente vers l’iode, puis poivre blanc et gingembre frais. La bouche est d’une fraîcheur et d’une énergie formidables. Agrumes, citron vert et goyave, poire Comice, équilibres incroyables, l’alcool est là, mais le fruit est atomique, l’acidité, vibrante, excitante, fait constamment vivre le vin en bouche, la finale est d’une densité folle, c’est proprement interminable, sans aucun doute, le plus grand Limozin qu’il m’ait été donné de déguster en vin jeune.

Meursault
Meursault Meix Chavaux