Les parcelles que nous exploitons ont en moyenne 25 ans. Notre production annuelle est d’environ 1700 bouteilles.
L’encépagement est 100% Pinot Noir.
Les vignes sont cultivées en culture biologique non certifiée.
Le sous-sol est composé d’alluvions fines de rivière. Il est donc moins riche en calcaire, donc plus lourd et plus drainant.
La cuvée est vinifiée en cuves pendant environ 15 jours, puis mise en fûts de chêne dans lesquels elle reste au minimum 12 mois.
Nous utilisons environ 20 % de fûts neufs
Le vin produit des arômes intenses de framboise, cerise noire. Il est d’un très bon vieillissement (10 à 15 ans).
Il peut être consommé en accompagnement d’une viande rouge cuisinée, ou de gibier.
Il est également idéal avec de très bons fromages au lait cru.
Dégustation
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Nez fruits rouges et fruits bruns, prune, cerise, griotte, quetsch, une note de suie, une autre de feuilles brulées, le cuir de Pommard même si la pivoine du village est écrasée par le fruit, encore un côté Santenots, la solarité du millésime a profité à tout le monde. Fraise des bois, tarte ou feuilleté aux fraises, coulis de fruits rouges. Bouche juteuse chargée de fruit, prune, cerise, noyaux, quetsch, cuir, ici, c’est la note cacaotée de Pommard qui est phagocytée par le fruit. C’est ultra nourrissant, les tanins sont juste parfaits, une finale savoureuse au possible. C’est très long, droit, expression du sol très présente, noyau, cuir, prune, cerise et des poivres mélangés, notamment des baies roses. Superbe.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Nez sur la prune, la cerise burlat et la pivoine, trio classique de la typicité du Pommard, on ajoute une gelée de fruits rouges et noirs, des épices, poivre gris, noix de muscade mais aussi café en grains, sucre roux et une note de gomme florale qui rappelle le géranium. Bouche avec un jus fruité, de la sensualité, une relative sucrosité, sûrement pas le Pommard tannique et un rien brutal de grand père, facile à boire avec ses beaux équilibres, on pense à 1997, à 1992 voir à 2011 mais il y a ici plus de grâce et de précision, comme pour le Bourgogne, les épices se montrent sur la finale avec poivre blanc et noix de muscade. En pratiquant un simple aller-retour en carafe, on peut le boire à 16 degrés, pas plus, sur une belle côte de veau gratin Dauphinois.
- + 2018
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Nez fruits rouges et fruits bruns, prune, cerise, griotte, quetsch, une note de suie, une autre de feuilles brulées, le cuir de Pommard même si la pivoine du village est écrasée par le fruit, encore un côté Santenots, la solarité du millésime a profité à tout le monde. Fraise des bois, tarte ou feuilleté aux fraises, coulis de fruits rouges. Bouche juteuse chargée de fruit, prune, cerise, noyaux, quetsch, cuir, ici, c’est la note cacaotée de Pommard qui est phagocytée par le fruit. C’est ultra nourrissant, les tanins sont juste parfaits, une finale savoureuse au possible. C’est très long, droit, expression du sol très présente, noyau, cuir, prune, cerise et des poivres mélangés, notamment des baies roses. Superbe.
- + 2017
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Nez sur la prune, la cerise burlat et la pivoine, trio classique de la typicité du Pommard, on ajoute une gelée de fruits rouges et noirs, des épices, poivre gris, noix de muscade mais aussi café en grains, sucre roux et une note de gomme florale qui rappelle le géranium. Bouche avec un jus fruité, de la sensualité, une relative sucrosité, sûrement pas le Pommard tannique et un rien brutal de grand père, facile à boire avec ses beaux équilibres, on pense à 1997, à 1992 voir à 2011 mais il y a ici plus de grâce et de précision, comme pour le Bourgogne, les épices se montrent sur la finale avec poivre blanc et noix de muscade. En pratiquant un simple aller-retour en carafe, on peut le boire à 16 degrés, pas plus, sur une belle côte de veau gratin Dauphinois.