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Domaine François Mikulski 7 RD 974 | 21190 Meursault Tél : 03 80 21 25 11 contact@domainemikulski.fr
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, Consommez avec modération.
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Saint-Aubin

Ce vin est issu d’une parcelle plantée en 1993 en Pinot Noir puis sur-greffée en 2008 en Chardonnay. Elle est exposée Sud-Sud-ouest sur le coteau de Saint Aubin.

Sa superficie totale est  de 0.1868 ha.
Son encépagement est 100% Chardonnay
Production annuelle : environ  1200 bouteilles.
La vigne est cultivée en culture biologique non certifiée.

Ce vin a une belle fraicheur avec un nez de fruits blancs où dominent les poires, une touche de vanille et d’épices douces.

La bouche est  fruitée, on y trouve Pomme Golden, poire et gelée de raisin, finale poivrée et puissante avec de la droiture et une belle persistance.

Idéalement, ce Saint Aubin est un vin à boire âgé de 3 a 5 ans. On le consomme en accompagnement d’un poisson ou d’une viande blanche, sauce au beurre ou crème.

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Dégustation

  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • 2015

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Robe plus claire, reflets verts et toujours aussi lumineuse. Provenant d’un terroir plus frais, la charge solaire du millésime a naturellement moins impacté ce Saint Aubin, largement moins marqué par la concentration de fruits secs typique de ce millésime et sous une forme un peu différente, du millésime précédent. Anis, des notes de coriandre mêlées au cerfeuil, menthe fraîche, une présence calcaire fraîche, eau courante et eucalyptus, poivre blanc, de l’énergie et de la précision, poudre de gingembre et piment oiseau.
Bouche chargée de fruits blancs, poire et pêche blanche, pomme Reinette et une touche de Granny Smith, agrumes maintenant, citron et pomelo, une touche d’ananas, une autre de mangue, expressif, plein et savoureux.
Finale droite, précise, portée par la minéralité du sol, fait largement saliver le dégustateur avec une envie de revenez-y évidente. Ca aurait pu être un vin de millésime 2017, par ce côté enjoué, énergique et cette ambiance d’herbes, d’agrumes et d’épices si caractéristiques de son aîné. Grâce à la discrétion de l’élevage, c’est un vin archi facile à placer, poissons grillés finement citronnés et chèvre frais aujourd’hui, les mêmes avec un beurre blanc  et un classique comme un Reblochon dans quatre ou cinq ans,

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

L’évolution aromatique sur quelques minutes est spectaculaire qui me pousse à écrire : Pas de 2018 sans une demi-heure de carafe ! En effet, avec un démarrage « incroyablement » fruits secs, noisette, pignons, colophane, encaustique, beurre de baratte, noix de cajou, cacahuètes, nougat, miel des Causses, crème pâtissière, anis, sucre glace…… on se demande si c’est un vin ou un dessert et puis, métamorphose, évolution graduelle vers la fraîcheur et la précision. En bouche, le terroir plus frais propose plus vite des fruits blancs en particulier une poire Comice, même si caramel et sucre d’orge sont présents, ensuite, les agrumes apparaissent avec le citron et la mandarine, beaucoup de densité dans ce vin. La finale poivrée, épicée, serrée, longue et droite se pare d’une composante minérale sérieuse, yang, où des notes de fonte, de marbre concassé s’imposent. On le voit, les ensembles agrumes-fruits secs, et pâtisserie- agrumes méritent de s’harmoniser à travers une garde raisonnablement longue, en tous cas trois ans. De nouveau, manger chaud, éventuellement épicer avec tact (safran, curry, muscade), un millésime plus viandes blanches que poisson, vous avez le 2017 pour la barbue, plus Mont d’Or que chèvre entre deux.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Le Saint Aubin n’est pas en reste. On est ici plus minéral, la présence de la roche calcaire se fait sentir, des herbes fines, cerfeuil et gazon coupé, eucalyptus, lavande, une nuance de bergamote, un côté gomme-poil à gratter-poudre à canon, arrivent des notes de riz-saké puis fleurs blanches, muguet et marguerites, miel d’acacia, vanille délicate. Bouche raisin, poire, pomme, agrumes, herbes fines, matière élastique et juteuse, fontaine de fruits charnus, long, droit, chargé de fruit et de notes poivrées, une note empyreumatique sortie tout droit du sol, persistant, vraiment complet.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Achat avisé que ce Saint-Aubin de belle fraîcheur avec un nez de fruits blancs où dominent les poires, Williams et Comice, une touche de vanille, des épices douces entre curcuma, carvi et curry doux, de l’air, de la pureté. La bouche est franchement fruitée, on y trouve pomme Golden, poire et gelée de raisin, finale poivrée et puissante avec de la droiture et une belle persistance.

+ 2019

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Robe plus claire, reflets verts et toujours aussi lumineuse. Provenant d’un terroir plus frais, la charge solaire du millésime a naturellement moins impacté ce Saint Aubin, largement moins marqué par la concentration de fruits secs typique de ce millésime et sous une forme un peu différente, du millésime précédent. Anis, des notes de coriandre mêlées au cerfeuil, menthe fraîche, une présence calcaire fraîche, eau courante et eucalyptus, poivre blanc, de l’énergie et de la précision, poudre de gingembre et piment oiseau.
Bouche chargée de fruits blancs, poire et pêche blanche, pomme Reinette et une touche de Granny Smith, agrumes maintenant, citron et pomelo, une touche d’ananas, une autre de mangue, expressif, plein et savoureux.
Finale droite, précise, portée par la minéralité du sol, fait largement saliver le dégustateur avec une envie de revenez-y évidente. Ca aurait pu être un vin de millésime 2017, par ce côté enjoué, énergique et cette ambiance d’herbes, d’agrumes et d’épices si caractéristiques de son aîné. Grâce à la discrétion de l’élevage, c’est un vin archi facile à placer, poissons grillés finement citronnés et chèvre frais aujourd’hui, les mêmes avec un beurre blanc  et un classique comme un Reblochon dans quatre ou cinq ans,

+ 2018

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

L’évolution aromatique sur quelques minutes est spectaculaire qui me pousse à écrire : Pas de 2018 sans une demi-heure de carafe ! En effet, avec un démarrage « incroyablement » fruits secs, noisette, pignons, colophane, encaustique, beurre de baratte, noix de cajou, cacahuètes, nougat, miel des Causses, crème pâtissière, anis, sucre glace…… on se demande si c’est un vin ou un dessert et puis, métamorphose, évolution graduelle vers la fraîcheur et la précision. En bouche, le terroir plus frais propose plus vite des fruits blancs en particulier une poire Comice, même si caramel et sucre d’orge sont présents, ensuite, les agrumes apparaissent avec le citron et la mandarine, beaucoup de densité dans ce vin. La finale poivrée, épicée, serrée, longue et droite se pare d’une composante minérale sérieuse, yang, où des notes de fonte, de marbre concassé s’imposent. On le voit, les ensembles agrumes-fruits secs, et pâtisserie- agrumes méritent de s’harmoniser à travers une garde raisonnablement longue, en tous cas trois ans. De nouveau, manger chaud, éventuellement épicer avec tact (safran, curry, muscade), un millésime plus viandes blanches que poisson, vous avez le 2017 pour la barbue, plus Mont d’Or que chèvre entre deux.

+ 2017

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Le Saint Aubin n’est pas en reste. On est ici plus minéral, la présence de la roche calcaire se fait sentir, des herbes fines, cerfeuil et gazon coupé, eucalyptus, lavande, une nuance de bergamote, un côté gomme-poil à gratter-poudre à canon, arrivent des notes de riz-saké puis fleurs blanches, muguet et marguerites, miel d’acacia, vanille délicate. Bouche raisin, poire, pomme, agrumes, herbes fines, matière élastique et juteuse, fontaine de fruits charnus, long, droit, chargé de fruit et de notes poivrées, une note empyreumatique sortie tout droit du sol, persistant, vraiment complet.

+ 2015

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Achat avisé que ce Saint-Aubin de belle fraîcheur avec un nez de fruits blancs où dominent les poires, Williams et Comice, une touche de vanille, des épices douces entre curcuma, carvi et curry doux, de l’air, de la pureté. La bouche est franchement fruitée, on y trouve pomme Golden, poire et gelée de raisin, finale poivrée et puissante avec de la droiture et une belle persistance.

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