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Domaine François Mikulski 7 RD 974 | 21190 Meursault Tél : 03 80 21 25 11 contact@domainemikulski.fr
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, Consommez avec modération.
Mentions légalesRouge Cerise

Bourgogne Côte d’Or

Les vignes de Bourgogne Chardonnay que nous exploitons depuis 1992 appartiennent à Marie Pierre et François MIKULSKI .

Leur superficie totale est  de 1.5 ha.
L’une a été plantée en 1986 et l’autre en 2005 par François MIKULSKI.
Leur encépagement est 100% Chardonnay.
Production annuelle : environ 9000 bouteilles.
Les vignes sont cultivées en culture biologique non certifiée.

Le sous-sol est composé d’alluvions fines de rivière, fréquent dans la partie basse du coteau.

La cuvée est élevée  en fûts de chêne environ 10 mois, puis soutiré et mis en cuves pour 2 mois avant la mise en bouteille.

Ces deux parcelles que nous exploitons se situent en limite de l’appellation MEURSAULT, ce qui confère au vin des caractéristiques proches de celui d’un Meursault : longueur en bouche, gras, bonne conservation.

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Dégustation

  • 2023
  • 2022
  • 2021
  • 2020
  • 2019
  • 2018
  • 2017

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Toujours autant de brillance et de limpidité, toujours un reflet vert marqué, à un degré moindre que le Hautes-Côtes cependant. Fruits quasi confits et marqués d’un miel poivré, les fruits sont tellement imbriqués les uns dans les autres que leur énumération est compliquée, on note la présence d’orange, d’ananas, de rhubarbe, osons nommer l’abricot, la mangue, la pêche jaune sans qu’on puisse être tout à fait affirmatif, mais à l’évidence, complexité il y a. Ajoutons la bergamote, l’huile de sésame, un ras el-hanout où on discerne le cumin, la badiane et les poivres, un Bourgogne orientalisant. Après un long moment, comme apaisé, le vin parvient à émettre de fines notes de cerfeuil et de marjolaine apportant un peu de douceur et encore plus de complexité.

Bouche ample, souple, élastique, coulis de fruits qui tapissent le palais, épices heureusement mariées aux fruits, toujours aussi oriental voire davantage, puissance des épices impressionnante, huiles pimentées, rhubarbe confite pimentée, mangue rôtie poivrée, poires elles aussi, agrumes luttant pour exister à côté des piments, clémentine « en feu », jus de citron pimenté, clou de girofle, bâton de réglisse puissant.

La finale confirme et appuie le propos, le sol serre la matière et la précise, le calcaire est presque autant marqué d’épics que les fruits, persistance sel de mer et poivre de Sichuan, comme les crevettes sel et poivre à la chinoise. On est proche d’un pinot gris « furieux » et « vindicatif ».

Poulet frit à l’américaine, beignets de calamars frits à l’espagnole ou scampi fritti à l’italienne, poitrine de porc croustillante à la cantonnaise, plus près de chez nous, coquilles Saint Jacques poêlés avec une pointe de curry, poissons grillés ou rôtis sauce Béarnaise mais il faudra dans ces deux dernières suggestions attendre deux ans. 91+

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Robe ultra lumineuse avec de la profondeur et un beau reflet vert. Nez lui aussi profond avec une belle complexité et une densité facilement perceptible. Coulis de poire, de pomme et de pêche, jus d’agrumes mais aussi zestes mêlés aux fruits blancs, pamplemousse, yuzu, citron jaune, pointe de coing. Gazon largement garni de petites fleurs printanières, trèfles et marguerites, pissenlits et boutons d’or, une note miellée flotte dans l’air évoquant sucre d’orge et bonbon au caramel, ajoutons une subtile note de lavande au milieu d’un bouquet de freesias blancs, un nuage de citronnelle, un autre de sauge, encore un autre d’estragon.
Bouche caressante, soyeuse et gourmande, belle ampleur de la matière, énormément de fruit. Difficiles à individualiser, l’impression générale c’est qu’ils sont peu ou prou tous là : quantité d’agrumes, yuzu, citrons vert et jaune, des éléments du pamplemousse, d’autres de l’orange Outspan, des éléments de la pomme, Reinette et Boskoop, de poire Conférence, des éléments entre pêche jaune et pêche blanche, la suavité surtout et le côté parfumé, la mandarine vite rattrapée par le kumquat, la coriandre, un peu de verveine, un peu de menthe cuite, complexité largement confirmée.
Finale intense, de la droiture et une grande précision, élevage quasi insensible, longueur et surtout persistance remarquables, point d’orgue assez épicé, des poivres, surtout blancs et une pointe de gingembre.
Un Bourgogne de haut vol, sa maturité et sa subtile pointe empyreumatique invitent à manger chaud, la finesse des herbes fines invite à sortir de l’apéritif, attendre 2 ou 3 ans et accompagner des coquelets à l’estragon aux petits pois, des cailles aux raisins où on glissera quelques raisins de Corinthe et même une escalope de veau panée avec son gratin Dauphinois, n’hésitez pas.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Nez sur l’anis, la cire, la vanille, les fruits blancs entre coulis et début de confisage, on retrouve notre cire qui ressemble désormais davantage à un encaustique avec une base de miel, une touche d’ananas, liqueur ou sirop d’abricot, violette sucrée comme pour la pâtisserie, bonbon à la violette, résine.
Bouche ample, grosse chair généreuse, coulis de fruits blancs et apparition des agrumes avec les citrons vert et jaune, le fruit de la passion, la pêche jeune flambée et la mangue poêlée. Longueur substantielle. Ici on peut manger chaud, on peut et on doit flamber, griller, saisir dans la poêle ou sur la plancha, pourquoi pas des gambas ou des calamars.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

La concentration demeure, mais le registre change, on est ici entre poire très mûre et fruits à coque, noix du Brésil et noix de Pécan, amandes, on n’est pas loin de la noix non plus, en même temps, une douceur évoque l’huile d’amande douce, de noisette, halo de pêche blanche, fleurs blanches lascives, bien ouvertes, rose blanche notamment, une touche mentholée vivifie le nez, et
elle a tendance à s’amplifier apportant fraîcheur et dynamique, les fruits à coque se marient maintenant avec un chocolat blanc, une touche de crème fraîche, des fleurs de genêt ajoutent au charme grandissant de l’ensemble, note de vanille, on finit presque sur les gougères, voir le choux à la crème.
Bouche à la matière crémeuse, crème fraîche vraiment épaisse mais encore souple, crème renversée, poires et pommes, une touche de caramel, poires et pommes au four, une touche d’abricot rôti, encore cette note de coing qui a conservé son caractère entre fruit et légume, les oranges, légèrement amères type Outspan sont là, touche de rhubarbe, d’écorce de clémentine-quinquina,
Finale puissante, presque violente, tannique pour dire, on ne quitte pas la sensation de profondeur tellurique déjà évoquée sur l’aligoté, l’extraction imposée par le millésime se traduit par la sensation d’avoir ingurgité une masse de roche calcaire et d’argile, pas juste une expression minérale, un extrait de magma. Ici aussi on est dans le repas assis, matière substantielle dans l’assiette recommandée.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Robe or clair brillant aux reflets verts lumineux. Dense, profond mais aussi complexe et sophistiqué. Beaux champignons roses de Paris et amanite des Césars, beurre tiède, huile de noisette et pied de veau, fruits blancs presque confits, poire et pêche blanche, écorce et légumes secs éclairés par une touche de cerfeuil, fruits secs entre Macadamia et noix du Brésil, en fin de nez, le vin se développe vers la poire pochée, le beurre frais et la praline, après tout c’est bien normal puisqu’on est sur le finage de Meursault.
Bouche de fruits blancs compotés, poires et pommes, crème de fruits blancs discrètement vanillée, une touche de miel, une autre d’abricot, pâte de fruit à l’orange et nougat à la pistache. Ensemble savoureux et nourrissant exigeant un plat chaud et goûteux, escalope de veau à la Milanaise ou suprêmes de volaille aux champignons.
Finale envahissante qui s’installe pour longtemps dans le corps.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Nez riche et complexe, cierge, colophane, agrumes discrets, citrons jaune et vert, mandarine, puis étoile de mer, mollusques, carapace de gambas, iode, sel, ardoise, fonte, je ne sais pas si vous vous rendez bien compte de ce que les racines ont été cherché comme informations. Légère sucrosité en bouche caramel, beaucoup de matière, orange, compote de pommes, une légère amertume cette fois ci, due sans doute à la concentration, le vin est difficile à bouger tant il est massif. Même histoire que pour l’aligoté, une dizaine de minutes suffisent à l’affiner, à changer le toucher du vin vers plus de fruit et de finesse. La finale puissante, massive et très longue, tarde-t-elle aussi à montrer la pomme, l’orange, le pomelo qui se montrent tour à tour. Garde obligatoire, au moins deux ans. Pour les accords, s’en servir comme d’un Meursault, des ris de veau champignons à la darne de saumon tagliatelle.

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Quand vous en ferez goûter à vos ami(e)s, dites leur bien qu’il s’agit d’un Bourgogne, appellation régionale de Bourgogne car ils auront du mal à le croire ! Il y a tout ce dont on peut rêver et plus, une complexité sidérante à ce niveau. Des fruits blancs, peau de pomme et banane écrasée, dans un écrin végétal fait d’herbes de montagne, sarriette, marjolaine ? Ce genre. Une note lactique suivie d’une foule d’agrumes, mandarine-kumquats-oranges, des fruits secs à présent, amande et noisette, encore des fleurs blanches comme des œillets, il y a une note lactique de yogourt, de crème, de beurre suivi d’un côté huile d’amande douce et huile de noisette, le vin à l’air, est on ne peut plus vivant, on l’a vu, il se dévoile par couches successives où on a trouvé des fruits, des herbes, des épices douces, des agrumes et il s’agit bien d’un Bourgogne blanc ! La bouche est chargée de fruit, opulente mais très vivante, agrumes-citron vert, citron jaune, pamplemousse, le vin est poivré, salé, excitant et sapide, grande longueur et grande persistance, vin spectaculaire.

+ 2023

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Toujours autant de brillance et de limpidité, toujours un reflet vert marqué, à un degré moindre que le Hautes-Côtes cependant. Fruits quasi confits et marqués d’un miel poivré, les fruits sont tellement imbriqués les uns dans les autres que leur énumération est compliquée, on note la présence d’orange, d’ananas, de rhubarbe, osons nommer l’abricot, la mangue, la pêche jaune sans qu’on puisse être tout à fait affirmatif, mais à l’évidence, complexité il y a. Ajoutons la bergamote, l’huile de sésame, un ras el-hanout où on discerne le cumin, la badiane et les poivres, un Bourgogne orientalisant. Après un long moment, comme apaisé, le vin parvient à émettre de fines notes de cerfeuil et de marjolaine apportant un peu de douceur et encore plus de complexité.

Bouche ample, souple, élastique, coulis de fruits qui tapissent le palais, épices heureusement mariées aux fruits, toujours aussi oriental voire davantage, puissance des épices impressionnante, huiles pimentées, rhubarbe confite pimentée, mangue rôtie poivrée, poires elles aussi, agrumes luttant pour exister à côté des piments, clémentine « en feu », jus de citron pimenté, clou de girofle, bâton de réglisse puissant.

La finale confirme et appuie le propos, le sol serre la matière et la précise, le calcaire est presque autant marqué d’épics que les fruits, persistance sel de mer et poivre de Sichuan, comme les crevettes sel et poivre à la chinoise. On est proche d’un pinot gris « furieux » et « vindicatif ».

Poulet frit à l’américaine, beignets de calamars frits à l’espagnole ou scampi fritti à l’italienne, poitrine de porc croustillante à la cantonnaise, plus près de chez nous, coquilles Saint Jacques poêlés avec une pointe de curry, poissons grillés ou rôtis sauce Béarnaise mais il faudra dans ces deux dernières suggestions attendre deux ans. 91+

+ 2022

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Robe ultra lumineuse avec de la profondeur et un beau reflet vert. Nez lui aussi profond avec une belle complexité et une densité facilement perceptible. Coulis de poire, de pomme et de pêche, jus d’agrumes mais aussi zestes mêlés aux fruits blancs, pamplemousse, yuzu, citron jaune, pointe de coing. Gazon largement garni de petites fleurs printanières, trèfles et marguerites, pissenlits et boutons d’or, une note miellée flotte dans l’air évoquant sucre d’orge et bonbon au caramel, ajoutons une subtile note de lavande au milieu d’un bouquet de freesias blancs, un nuage de citronnelle, un autre de sauge, encore un autre d’estragon.
Bouche caressante, soyeuse et gourmande, belle ampleur de la matière, énormément de fruit. Difficiles à individualiser, l’impression générale c’est qu’ils sont peu ou prou tous là : quantité d’agrumes, yuzu, citrons vert et jaune, des éléments du pamplemousse, d’autres de l’orange Outspan, des éléments de la pomme, Reinette et Boskoop, de poire Conférence, des éléments entre pêche jaune et pêche blanche, la suavité surtout et le côté parfumé, la mandarine vite rattrapée par le kumquat, la coriandre, un peu de verveine, un peu de menthe cuite, complexité largement confirmée.
Finale intense, de la droiture et une grande précision, élevage quasi insensible, longueur et surtout persistance remarquables, point d’orgue assez épicé, des poivres, surtout blancs et une pointe de gingembre.
Un Bourgogne de haut vol, sa maturité et sa subtile pointe empyreumatique invitent à manger chaud, la finesse des herbes fines invite à sortir de l’apéritif, attendre 2 ou 3 ans et accompagner des coquelets à l’estragon aux petits pois, des cailles aux raisins où on glissera quelques raisins de Corinthe et même une escalope de veau panée avec son gratin Dauphinois, n’hésitez pas.

+ 2021

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Nez sur l’anis, la cire, la vanille, les fruits blancs entre coulis et début de confisage, on retrouve notre cire qui ressemble désormais davantage à un encaustique avec une base de miel, une touche d’ananas, liqueur ou sirop d’abricot, violette sucrée comme pour la pâtisserie, bonbon à la violette, résine.
Bouche ample, grosse chair généreuse, coulis de fruits blancs et apparition des agrumes avec les citrons vert et jaune, le fruit de la passion, la pêche jeune flambée et la mangue poêlée. Longueur substantielle. Ici on peut manger chaud, on peut et on doit flamber, griller, saisir dans la poêle ou sur la plancha, pourquoi pas des gambas ou des calamars.

+ 2020

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

La concentration demeure, mais le registre change, on est ici entre poire très mûre et fruits à coque, noix du Brésil et noix de Pécan, amandes, on n’est pas loin de la noix non plus, en même temps, une douceur évoque l’huile d’amande douce, de noisette, halo de pêche blanche, fleurs blanches lascives, bien ouvertes, rose blanche notamment, une touche mentholée vivifie le nez, et
elle a tendance à s’amplifier apportant fraîcheur et dynamique, les fruits à coque se marient maintenant avec un chocolat blanc, une touche de crème fraîche, des fleurs de genêt ajoutent au charme grandissant de l’ensemble, note de vanille, on finit presque sur les gougères, voir le choux à la crème.
Bouche à la matière crémeuse, crème fraîche vraiment épaisse mais encore souple, crème renversée, poires et pommes, une touche de caramel, poires et pommes au four, une touche d’abricot rôti, encore cette note de coing qui a conservé son caractère entre fruit et légume, les oranges, légèrement amères type Outspan sont là, touche de rhubarbe, d’écorce de clémentine-quinquina,
Finale puissante, presque violente, tannique pour dire, on ne quitte pas la sensation de profondeur tellurique déjà évoquée sur l’aligoté, l’extraction imposée par le millésime se traduit par la sensation d’avoir ingurgité une masse de roche calcaire et d’argile, pas juste une expression minérale, un extrait de magma. Ici aussi on est dans le repas assis, matière substantielle dans l’assiette recommandée.

+ 2019

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Robe or clair brillant aux reflets verts lumineux. Dense, profond mais aussi complexe et sophistiqué. Beaux champignons roses de Paris et amanite des Césars, beurre tiède, huile de noisette et pied de veau, fruits blancs presque confits, poire et pêche blanche, écorce et légumes secs éclairés par une touche de cerfeuil, fruits secs entre Macadamia et noix du Brésil, en fin de nez, le vin se développe vers la poire pochée, le beurre frais et la praline, après tout c’est bien normal puisqu’on est sur le finage de Meursault.
Bouche de fruits blancs compotés, poires et pommes, crème de fruits blancs discrètement vanillée, une touche de miel, une autre d’abricot, pâte de fruit à l’orange et nougat à la pistache. Ensemble savoureux et nourrissant exigeant un plat chaud et goûteux, escalope de veau à la Milanaise ou suprêmes de volaille aux champignons.
Finale envahissante qui s’installe pour longtemps dans le corps.

+ 2018

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Nez riche et complexe, cierge, colophane, agrumes discrets, citrons jaune et vert, mandarine, puis étoile de mer, mollusques, carapace de gambas, iode, sel, ardoise, fonte, je ne sais pas si vous vous rendez bien compte de ce que les racines ont été cherché comme informations. Légère sucrosité en bouche caramel, beaucoup de matière, orange, compote de pommes, une légère amertume cette fois ci, due sans doute à la concentration, le vin est difficile à bouger tant il est massif. Même histoire que pour l’aligoté, une dizaine de minutes suffisent à l’affiner, à changer le toucher du vin vers plus de fruit et de finesse. La finale puissante, massive et très longue, tarde-t-elle aussi à montrer la pomme, l’orange, le pomelo qui se montrent tour à tour. Garde obligatoire, au moins deux ans. Pour les accords, s’en servir comme d’un Meursault, des ris de veau champignons à la darne de saumon tagliatelle.

+ 2017

Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris

Quand vous en ferez goûter à vos ami(e)s, dites leur bien qu’il s’agit d’un Bourgogne, appellation régionale de Bourgogne car ils auront du mal à le croire ! Il y a tout ce dont on peut rêver et plus, une complexité sidérante à ce niveau. Des fruits blancs, peau de pomme et banane écrasée, dans un écrin végétal fait d’herbes de montagne, sarriette, marjolaine ? Ce genre. Une note lactique suivie d’une foule d’agrumes, mandarine-kumquats-oranges, des fruits secs à présent, amande et noisette, encore des fleurs blanches comme des œillets, il y a une note lactique de yogourt, de crème, de beurre suivi d’un côté huile d’amande douce et huile de noisette, le vin à l’air, est on ne peut plus vivant, on l’a vu, il se dévoile par couches successives où on a trouvé des fruits, des herbes, des épices douces, des agrumes et il s’agit bien d’un Bourgogne blanc ! La bouche est chargée de fruit, opulente mais très vivante, agrumes-citron vert, citron jaune, pamplemousse, le vin est poivré, salé, excitant et sapide, grande longueur et grande persistance, vin spectaculaire.

Bourgogne Hautes Côtes de Beaune
Bourgogne Aligoté