Cette parcelle que nous exploitons provient de la famille. Elle est âgée d’environ 40 ans. Nos rendements ne dépassent pas 30 hl à l’hectare, ce qui fait que notre production annuelle est d’environ 300 bouteilles.
L’encépagement est 100% Pinot Noir.
La vigne est cultivée en culture biologique non certifiée
Le sous-sol est composé de cailloutis calcaires posé sur un une roche porteuse en plaquettes fissurées
La cuvée est vinifiée dans une petite cuve en bois pendant environ 15-17 jours, puis mise en fût de chêne dans lequel elle reste au minimum 12mois. Nous utilisons un fût d’un vin.
Le nez varie entre les fruits compotés et une soupe de fruits rouges. La rétro-olfaction dévoile tout le potentiel du vin, poivre noir, framboise sauvage, tabac brun, réglisse et vous emmène vers une finale droite et intense où apparaît la minéralité du terroir, sans que jamais le fruit ne vous quitte.
La tradition familiale est de le boire en accompagnement d’un pigeon.
Dégustation
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
En voila un qui s’était fait plus que rare depuis le débit des années 2010, absent même, et qui marque son grand retour depuis le millésime 2017, j’avoue qu’il me manquait tant j’ai une amitié particulière pour lui comme pour son voisin sur le finage de Volnay. Le nez se présente d’abord avec un paysage végétal complexe où on perçoit les feuillus, la mousse, les fougères, les écorces d’arbres d’une forêt pas si lointaine.
Les fruits et les fleurs ne tardent pas à se montrer, cerise, oeillets, quetsch et noyau, violette (de Volnay), terre retournée, note de café crème, de capuccino, une note rafraîchissante de rhubarbe. Bouche sur les fruits compotés bruns, rouges et noirs, cette même note de rhubarbe, des tanins très souples, prune et framboise, une atmosphère poétique avec une certaine tendresse générale puis, l’air de rien, la finale vous emmène loin, très loin, le vin s’est construit graduellement en bouche, une entrée discrète, délicate et, en ascension permanente, la très grande persistance dit l’avenir de cette bouteille d’une grande finesse.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Proche parent du précédent, subtilité, harmonie et grande élégance. Terre, chocolat complexe-truffe au chocolat, fleurs, pivoine, rose épanouie, tulipe, une touche de groseille. Bouche au toucher soyeux, fruits rouges et noirs, groseille, cerise et mûre, gelée de fruits, végétalité sophistiquée, écorce, laurier, eucalyptus, gingembre, sauge. La finale en parfait accord, grande finesse, une classe folle.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Pour les Caillerets, voici un retour en fanfare, une très grande bouteille en perspective. De la profondeur, une présence intense du sol, sur le plan de la palette aromatique, le Caillerets fait un peu son Santenots avec de la paille à la framboise, un coulis de cerises, des épices douces, cannelle en tête, groseille encore et gelée de fruits rouges, des fleurs avec une rose rouge et des pivoines, fleurs blanches très fraîches ensuite……….. terre, bulbe de fleurs, complexe et raffiné, bois précieux, apanage des très grands vins, le charme, la force, la perfection des équilibres, grande bouteille, aucun doute à ce sujet.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Le nez varie entre les fruits compotés et une soupe de fruits rouges. Chocolat, pivoine et framboise, une note de bois précieux est perceptible, entre acajou et palissandre. Je trouve (il n’y a peut-être que moi), une touche de raisin de Corinthe, puis gelée de mûres et de framboises, beaucoup de charme émane du verre.
Bouche avec une sensation d’eau désaltérante, noyau de cerise suivi de fruits compotés (le mot revient). La rétro-olfaction dévoile tout le potentiel du vin, poivre noir, framboise sauvage, tabac brun, réglisse et vous emmène vers une finale droite et intense où apparaît la minéralité du terroir, sans que jamais le fruit ne vous quitte. C’est franchement long.
Nez sang, terre, grattoir d’allumettes, arbre-hêtre-bouleau, à l’air prolongé une note viandée proche de la fraise de veau, fruits rouges avec aussi une petite note de cassis, bois de santal, une sensation que le vin est plus froid qu’il ne l’est vraiment, tant la fraîcheur des arômes s’impose. En bouche, gelée de groseilles, de framboises, marmelade d’oranges sanguines, envahissant avec des tanins parfaitement mûrs. 94 +
Nez floral et minéral d’une grande complexité. Chocolats mélangés, purée de fleurs, vertical mais sans la moindre austerité. On est emballé par l’harmonie et la classe dégagée par le vin. Bouche fruitée et énergique, cerise, noyau, une droiture et une tension magnifiques en finale, de la belle ouvrage.
Pâtissier, floral, une certaine sucrosité qui, curieusement, le rapproche du Santenots classique. C’est comme si les deux vins avaient joué aux chaises musicales, confiture de framboises et de fraises, gelée de mûres et de griottes, beaucoup plus friand, féminin et séducteur qu’à l’accoutumée, crème de fruits de Bourgogne. Le vin est en devenir,
aujourd’hui il y a du fruit à revendre, du jus, de la vivacité, va
progresser au cours de ces cinq prochaines années, il y a un naturel dans la rétro-olfaction qui donne des certitudes, finit sapide comme un blanc, intense, d’une droiture intransigeante, grand vin pour demain.
Le MEURSAULT CAILLERETS est superbe. Raffiné, floral, élégant, beaucoup de jus en bouche avec une très belle sensation de maturité. Vertical, précis, superbe.
- + 2018
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
En voila un qui s’était fait plus que rare depuis le débit des années 2010, absent même, et qui marque son grand retour depuis le millésime 2017, j’avoue qu’il me manquait tant j’ai une amitié particulière pour lui comme pour son voisin sur le finage de Volnay. Le nez se présente d’abord avec un paysage végétal complexe où on perçoit les feuillus, la mousse, les fougères, les écorces d’arbres d’une forêt pas si lointaine.
Les fruits et les fleurs ne tardent pas à se montrer, cerise, oeillets, quetsch et noyau, violette (de Volnay), terre retournée, note de café crème, de capuccino, une note rafraîchissante de rhubarbe. Bouche sur les fruits compotés bruns, rouges et noirs, cette même note de rhubarbe, des tanins très souples, prune et framboise, une atmosphère poétique avec une certaine tendresse générale puis, l’air de rien, la finale vous emmène loin, très loin, le vin s’est construit graduellement en bouche, une entrée discrète, délicate et, en ascension permanente, la très grande persistance dit l’avenir de cette bouteille d’une grande finesse. - + 2016
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Proche parent du précédent, subtilité, harmonie et grande élégance. Terre, chocolat complexe-truffe au chocolat, fleurs, pivoine, rose épanouie, tulipe, une touche de groseille. Bouche au toucher soyeux, fruits rouges et noirs, groseille, cerise et mûre, gelée de fruits, végétalité sophistiquée, écorce, laurier, eucalyptus, gingembre, sauge. La finale en parfait accord, grande finesse, une classe folle.
- + 2015
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Pour les Caillerets, voici un retour en fanfare, une très grande bouteille en perspective. De la profondeur, une présence intense du sol, sur le plan de la palette aromatique, le Caillerets fait un peu son Santenots avec de la paille à la framboise, un coulis de cerises, des épices douces, cannelle en tête, groseille encore et gelée de fruits rouges, des fleurs avec une rose rouge et des pivoines, fleurs blanches très fraîches ensuite……….. terre, bulbe de fleurs, complexe et raffiné, bois précieux, apanage des très grands vins, le charme, la force, la perfection des équilibres, grande bouteille, aucun doute à ce sujet.
- + 2011
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Le nez varie entre les fruits compotés et une soupe de fruits rouges. Chocolat, pivoine et framboise, une note de bois précieux est perceptible, entre acajou et palissandre. Je trouve (il n’y a peut-être que moi), une touche de raisin de Corinthe, puis gelée de mûres et de framboises, beaucoup de charme émane du verre.
Bouche avec une sensation d’eau désaltérante, noyau de cerise suivi de fruits compotés (le mot revient). La rétro-olfaction dévoile tout le potentiel du vin, poivre noir, framboise sauvage, tabac brun, réglisse et vous emmène vers une finale droite et intense où apparaît la minéralité du terroir, sans que jamais le fruit ne vous quitte. C’est franchement long. - + 2010
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Nez sang, terre, grattoir d’allumettes, arbre-hêtre-bouleau, à l’air prolongé une note viandée proche de la fraise de veau, fruits rouges avec aussi une petite note de cassis, bois de santal, une sensation que le vin est plus froid qu’il ne l’est vraiment, tant la fraîcheur des arômes s’impose. En bouche, gelée de groseilles, de framboises, marmelade d’oranges sanguines, envahissant avec des tanins parfaitement mûrs. 94 +
- + 2009
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Nez floral et minéral d’une grande complexité. Chocolats mélangés, purée de fleurs, vertical mais sans la moindre austerité. On est emballé par l’harmonie et la classe dégagée par le vin. Bouche fruitée et énergique, cerise, noyau, une droiture et une tension magnifiques en finale, de la belle ouvrage.
- + 2008
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Pâtissier, floral, une certaine sucrosité qui, curieusement, le rapproche du Santenots classique. C’est comme si les deux vins avaient joué aux chaises musicales, confiture de framboises et de fraises, gelée de mûres et de griottes, beaucoup plus friand, féminin et séducteur qu’à l’accoutumée, crème de fruits de Bourgogne. Le vin est en devenir,
aujourd’hui il y a du fruit à revendre, du jus, de la vivacité, va
progresser au cours de ces cinq prochaines années, il y a un naturel dans la rétro-olfaction qui donne des certitudes, finit sapide comme un blanc, intense, d’une droiture intransigeante, grand vin pour demain. - + 2007
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Le MEURSAULT CAILLERETS est superbe. Raffiné, floral, élégant, beaucoup de jus en bouche avec une très belle sensation de maturité. Vertical, précis, superbe.