Les vignes de Bourgogne Pinot Noir que nous exploitons appartiennent à Marie Pierre et François MIKULSKI . Leur superficie totale est de 1.30 ha. L’une a été plantée en 1929 et l’autre en 1980 . Leur encépagement est 100% Pinot Noir.
Production annuelle : environ 6000 bouteilles.
Les vignes sont cultivées en culture biologique non certifiée.
Le sous-sol est composé d’alluvions fines de rivière, fréquent dans la partie basse du coteau.
La cuvée est élevée en fûts de chêne environ 10 mois, puis soutiré et mis en cuves pour 2 mois avant la mise en bouteille.
Nous conseillons de faire vieillir un peu ces bouteilles (4 à 5 ans).
Ce vin sera à consommer en accompagnement d’une viande grillée.
Dégustation
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Robe vermillon éclairci à grenat léger, assez bonne brillance. Nez de fleurs parfumées, œillet rouge à rose, tulipes, roses blanches, roses et rouges, pivoine très fraîche, fruits rouges nerveux, cerise et groseille, liqueur de framboise, coulis de fraise concentré, pointe de cassis, crème fraîche, pana cota et son coulis de framboises et de cerises, note mentholée, baie de genièvre, épine de pin, feuille d’eucalyptus. Note de bois précieux, acajou mais aussi bois de santal. Jolie minéralité d’une terre argileuse humide mais saine.
Bouche beau fruit généreux et à l’acidité expressive, ensemble poivré d’un poivre noir puissant, saveurs d’écorce et de coque d’amande, poivre rose aussi puissant que le noir, verveine, toute sorte de cerises de la griotte aux différentes productions des bigarreautiers, laurier et feuille d’eucalyptus, coriandre, feuille de mûrier, de cassissier, ronces, petite touche de groseille poivrée.
Finale énergique et expressive, tannins assez puissants mais le vin reste juteux, fine amertume qui reprend les notes d’écorce, belle droiture, longueur de bon aloi.
Buvable bien sûr, mais mérite deux ans de garde si on veut sortir de la charcuterie, parfaitement capable de se comporter avec une bavette ou un onglet, même avec une sauce au poivre, un boudin noir aux deux pommes et même une tranche de foie de veau au bacon. 89-90
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Robe d’un grenat léger. Nez tendre et harmonieux, griottes et prunes, gelée de fruits noirs mêlant cassis, mûres
et myrtilles, épices douces avec des touches de cannelle, de sucre roux et de curcuma, de la douceur et de la
poésie, note évanescente de pivoine, de tige de tulipe et de pousse de géranium, un peu de suie de l’âtre, des
champignons rose-bruns de Paris vapeur, une touche de violette, beaucoup de charme.
Bouche ample, facile, toucher tendre et soyeux, tannins si mûrs qu’on en ressent à peine la présence, montée graduelle des poivres, poivre blanc en tête, pointe de gingembre racine de et radis noir, graines de coriandre, verveine poivrée cuite, confiture de tomates coeur de boeuf.
Finale énergique, épicée, plus effilée et tendue qu’attendu, belle persistance marquée par les épices et les herbes marinées, menthe, verveine poivrée et coriendre.
Pâté de campagne, jambon persillé, assiette anglaise, terrine de grives au genièvre, vu la douceur tannique, on pourra même s’aventurer du côté des oeufs en meurette sans attendre un passage en cave. 89-90.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Pureté du fruit et lumière interne, ce Bourgogne éclaire, sensualité brillante. Tulipes et pivoines, cerises noires gorgées de jus et prunes d’une maturité parfaite, mûres et cassis, framboise en coulis, fine fumée, suie de l’âtre et graisse de gibier à plumes, un côté laque du canard à la Pékinoise, touche de cannelle et sucrosité irrésistible, quel charme ! On est très proche d’un Pommard village.
Le fruit poivré explose en bouche, tous les fruits décrits au nez sont là et plus que là, ajoutons la griotte, les poivres, surtout noir, le clou de girofle, la feuille de cassissier et celle du mûrier, énergie et intensité du fruit, ça avance, ça s’exprime en permanence, la dimension épicée progresse en bouche, ici aussi il faudra envisager la table sans hésiter.
Long, précis comme jamais, tannins plus que parfaits, long et vraiment persistant. Au moins des œufs en meurette mais nous préférerions un boudin noir aux deux pommes et même une pièce de viande au barbecue.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Comme dirait l’autre, ça pinote ! Il y a bien écrit Côte d’Or à côté du mot Bourgogne pourtant, on jurerait être en Côte Chalonnaise, Givry pour être encore plus explicite….. Cerise, eucalyptus, gelée de mûres, baies roses, et ce cocktail pivoine-tulipe, tellement caractéristique des vins de la bas. La bouche avec ses saveurs de cerise à nouveau, d’orange sanguine comme jamais, de gomme, d’écorce, de bosquets frais rappelle encore cette Côte Chalonnaise, verdoyante et bucolique, des notes de confiture de myrtille, de prune rouge, de la bonne humeur en jus. Ce Bourgogne, facile, élastique, expressif, aux tannins doux comme des agneaux est à boire quand vous le voudrez, un jambon persillé, des cailles ou un coquelet frites et petits pois, attention, le niveau de la bouteille risque de vite descendre.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
La robe est sans commentaires mais commentons tout de même : Densité, lumière, éclat, ça démarre sur les chapeaux de roues et on va y rester jusqu’à la dernière goutte. Fruit monstre, framboise, cerise noire, myrtille, confiture de mûres et une note de cassis, sucre de canne, épices douces fines, muscade et cannelle. La bouche est d’un naturel confondant, fruit énorme de nouveau, une framboise et une fraise très mûres, feuille de cassissier et de mûrier, dense, concentré mais jamais lourd, on ne pourra pas en boire des seaux cependant comme les 99 le permettaient, la finale est pleine, serrée mais jamais dure, le fruit habite la totalité de la finale jusqu’au derniers soubresauts du vin, une note de fruits bruns se montre à la toute fin, entre prune et quetsch avec une note de laurier et de menthe.
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Charme et sensualité, fruits rouges confits, framboise, cerise et fraise des bois ou mara des bois, miel, jus de veau, fleurs-oeillets blancs, rose blanche, beurre de barate, gelée de fruits rouges et une note très proche de l’abricot. Dans une bouche juteuse aux tannins faciles, souples, la cerise et la groseille s’expriment mais le poivre rend le vin plus épicé qu’initialement escompté. La persistance étire le vin avec beaucoup de naturel, on peut le boire et sa finale avec i-un poivre de Sitchuan marqué, proche du piment, agrémentera un poulet rôti aux petits pois.
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Robe vermillon éclairci à grenat léger, assez bonne brillance. Nez de fleurs parfumées, œillet rouge à rose, tulipes, roses blanches, roses et rouges, pivoine très fraîche, fruits rouges nerveux, cerise et groseille, liqueur de framboise, coulis de fraise concentré, pointe de cassis, crème fraîche, pana cota et son coulis de framboises et de cerises, note mentholée, baie de genièvre, épine de pin, feuille d’eucalyptus. Note de bois précieux, acajou mais aussi bois de santal. Jolie minéralité d’une terre argileuse humide mais saine.
Bouche beau fruit généreux et à l’acidité expressive, ensemble poivré d’un poivre noir puissant, saveurs d’écorce et de coque d’amande, poivre rose aussi puissant que le noir, verveine, toute sorte de cerises de la griotte aux différentes productions des bigarreautiers, laurier et feuille d’eucalyptus, coriandre, feuille de mûrier, de cassissier, ronces, petite touche de groseille poivrée.
Finale énergique et expressive, tannins assez puissants mais le vin reste juteux, fine amertume qui reprend les notes d’écorce, belle droiture, longueur de bon aloi.
Buvable bien sûr, mais mérite deux ans de garde si on veut sortir de la charcuterie, parfaitement capable de se comporter avec une bavette ou un onglet, même avec une sauce au poivre, un boudin noir aux deux pommes et même une tranche de foie de veau au bacon. 89-90
- + 2021
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Robe d’un grenat léger. Nez tendre et harmonieux, griottes et prunes, gelée de fruits noirs mêlant cassis, mûres
et myrtilles, épices douces avec des touches de cannelle, de sucre roux et de curcuma, de la douceur et de la
poésie, note évanescente de pivoine, de tige de tulipe et de pousse de géranium, un peu de suie de l’âtre, des
champignons rose-bruns de Paris vapeur, une touche de violette, beaucoup de charme.
Bouche ample, facile, toucher tendre et soyeux, tannins si mûrs qu’on en ressent à peine la présence, montée graduelle des poivres, poivre blanc en tête, pointe de gingembre racine de et radis noir, graines de coriandre, verveine poivrée cuite, confiture de tomates coeur de boeuf.
Finale énergique, épicée, plus effilée et tendue qu’attendu, belle persistance marquée par les épices et les herbes marinées, menthe, verveine poivrée et coriendre.
Pâté de campagne, jambon persillé, assiette anglaise, terrine de grives au genièvre, vu la douceur tannique, on pourra même s’aventurer du côté des oeufs en meurette sans attendre un passage en cave. 89-90. - + 2020
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Pureté du fruit et lumière interne, ce Bourgogne éclaire, sensualité brillante. Tulipes et pivoines, cerises noires gorgées de jus et prunes d’une maturité parfaite, mûres et cassis, framboise en coulis, fine fumée, suie de l’âtre et graisse de gibier à plumes, un côté laque du canard à la Pékinoise, touche de cannelle et sucrosité irrésistible, quel charme ! On est très proche d’un Pommard village.
Le fruit poivré explose en bouche, tous les fruits décrits au nez sont là et plus que là, ajoutons la griotte, les poivres, surtout noir, le clou de girofle, la feuille de cassissier et celle du mûrier, énergie et intensité du fruit, ça avance, ça s’exprime en permanence, la dimension épicée progresse en bouche, ici aussi il faudra envisager la table sans hésiter.
Long, précis comme jamais, tannins plus que parfaits, long et vraiment persistant. Au moins des œufs en meurette mais nous préférerions un boudin noir aux deux pommes et même une pièce de viande au barbecue. - + 2019
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Comme dirait l’autre, ça pinote ! Il y a bien écrit Côte d’Or à côté du mot Bourgogne pourtant, on jurerait être en Côte Chalonnaise, Givry pour être encore plus explicite….. Cerise, eucalyptus, gelée de mûres, baies roses, et ce cocktail pivoine-tulipe, tellement caractéristique des vins de la bas. La bouche avec ses saveurs de cerise à nouveau, d’orange sanguine comme jamais, de gomme, d’écorce, de bosquets frais rappelle encore cette Côte Chalonnaise, verdoyante et bucolique, des notes de confiture de myrtille, de prune rouge, de la bonne humeur en jus. Ce Bourgogne, facile, élastique, expressif, aux tannins doux comme des agneaux est à boire quand vous le voudrez, un jambon persillé, des cailles ou un coquelet frites et petits pois, attention, le niveau de la bouteille risque de vite descendre.
- + 2018
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
La robe est sans commentaires mais commentons tout de même : Densité, lumière, éclat, ça démarre sur les chapeaux de roues et on va y rester jusqu’à la dernière goutte. Fruit monstre, framboise, cerise noire, myrtille, confiture de mûres et une note de cassis, sucre de canne, épices douces fines, muscade et cannelle. La bouche est d’un naturel confondant, fruit énorme de nouveau, une framboise et une fraise très mûres, feuille de cassissier et de mûrier, dense, concentré mais jamais lourd, on ne pourra pas en boire des seaux cependant comme les 99 le permettaient, la finale est pleine, serrée mais jamais dure, le fruit habite la totalité de la finale jusqu’au derniers soubresauts du vin, une note de fruits bruns se montre à la toute fin, entre prune et quetsch avec une note de laurier et de menthe.
- + 2017
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Charme et sensualité, fruits rouges confits, framboise, cerise et fraise des bois ou mara des bois, miel, jus de veau, fleurs-oeillets blancs, rose blanche, beurre de barate, gelée de fruits rouges et une note très proche de l’abricot. Dans une bouche juteuse aux tannins faciles, souples, la cerise et la groseille s’expriment mais le poivre rend le vin plus épicé qu’initialement escompté. La persistance étire le vin avec beaucoup de naturel, on peut le boire et sa finale avec i-un poivre de Sitchuan marqué, proche du piment, agrémentera un poulet rôti aux petits pois.