Ce Bourgogne Hautes Côtes de Beaune est issu de 2 vignes cultivées en agriculture biologique. L’une est située à proximité de Nolay (2/3 du volume) et l’autre à Meloisey (1/3).
Le sol est argilo-calcaire.
Dégustation
Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Robe or clair brillant teinté d’un délicat reflet vert. Nez printanier, gazon et herbes plus hautes, petites fleurs blanches mais aussi jonquilles, point d’eau entouré d’arbres en pleine floraison, du saule pleureur à l’acacia en passant par le peuplier, une délicate note miellée embaume l’air, on imagine des genêts en fleurs, terre humide retournée, glaise, une note qui évoque la poudre à canon sans doute venue du sol évoque certains chenins du côté de Vouvray.
Bouche au toucher soyeux, suave et gourmande, beaucoup de fruit couche après couche et notamment beaucoup d’agrumes, orange à peine amère entre Outspan et Maltaise, clémentine, chair, écorce et pépins, pointe de pomelo, réglisse bâton et sucrine, coulis de pommes et de poires intimement mélangés, marmelade et un soupçon de gelée d’abricot.
Ici aussi une finale à la longueur substantielle sans perte de fruit, amertume rafraîchissante au cœur d’un fruit par ailleurs finement sucré, on pense à la cardamome verte, le vin reste savoureux y compris loin dans la persistance, très complet.
Accords comparables à ceux proposés pour l’aligoté, peut être peut-on poivrer davantage ou épicer avec clou de girofle ou cardamome, sans aller jusqu’à des plats cambodgiens ou Thaïs, on pourrait s’en inspirer.
- + 2022
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Raphael GIMENEZ-FAUVETY, société De Corps et d’Esprit à Paris
Robe or clair brillant teinté d’un délicat reflet vert. Nez printanier, gazon et herbes plus hautes, petites fleurs blanches mais aussi jonquilles, point d’eau entouré d’arbres en pleine floraison, du saule pleureur à l’acacia en passant par le peuplier, une délicate note miellée embaume l’air, on imagine des genêts en fleurs, terre humide retournée, glaise, une note qui évoque la poudre à canon sans doute venue du sol évoque certains chenins du côté de Vouvray.
Bouche au toucher soyeux, suave et gourmande, beaucoup de fruit couche après couche et notamment beaucoup d’agrumes, orange à peine amère entre Outspan et Maltaise, clémentine, chair, écorce et pépins, pointe de pomelo, réglisse bâton et sucrine, coulis de pommes et de poires intimement mélangés, marmelade et un soupçon de gelée d’abricot.
Ici aussi une finale à la longueur substantielle sans perte de fruit, amertume rafraîchissante au cœur d’un fruit par ailleurs finement sucré, on pense à la cardamome verte, le vin reste savoureux y compris loin dans la persistance, très complet.
Accords comparables à ceux proposés pour l’aligoté, peut être peut-on poivrer davantage ou épicer avec clou de girofle ou cardamome, sans aller jusqu’à des plats cambodgiens ou Thaïs, on pourrait s’en inspirer.